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Stress thermique au Québec : Comment limiter les dégâts?

Le stress thermique est en grande partie responsable des diminutions de performances des animaux observées pendant la saison chaude. Plusieurs stratégies au niveau de l’environnement, de la nutrition et de la génétique peuvent être mises en place pour contrer les effets de cette condition. Le contexte d’utilisation et l’efficacité de ces stratégies vous seront présentées.

Véronique Ouellet, M. Sc.
Candidate au doctorat en sciences animales

Véronique Ouellet détient un baccalauréat en agronomie et une maîtrise en sciences animale de l’Université Laval. Durant ses études supérieures, elle a eu la chance d’effectuer un stage en recherche à la Frei Universität à Berlin. De retour d’un stage en recherche à l’Université du Wisconsin à Madison, elle étudie présentement au Doctorat en sciences animales à l’Université Laval. Elle s’intéresse particulièrement au stress thermique chez la vache laitière et aux stratégies d’adaptation aux changements climatiques implantables sur les fermes laitières québécoises.

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