L’agriculture suisse est la plus protégée et la plus chère du monde. Quelles en sont les conséquences pour l’esprit d’entreprise, la compétitivité, la qualité de vie et la santé mentale de ses paysans. Survol des dérives et excès de l’écologie et des labels!
Contenu réservé aux personnes inscrites à l'événement.
Veuillez saisir le courriel utilisé pour vous inscrire à cet événement afin de débloquer le contenu réservé :
Philippe Bise est né le 25 mars 1964 à Montborget, dans la Broye fribourgeoise en Suisse, dans le canton de Fribourg. Scolarité obligatoire de 9 ans, suivie d’un apprentissage de 4 ans pour devenir agriculteur, il a fait un brevet et une maitrise fédérale en 1990, où il a fini major de la promotion.
Depuis 2001, il est impliqué à tous les niveaux, et dans la Suisse entière, pour tout ce qui concerne la formation agricole, particulièrement la formation supérieure, brevet et maitrise. Père de deux grands enfants, M. Bise a toujours beaucoup voyagé dans les grands pays agricoles, en particulier les pays anglophones.
Au niveau professionnel, il a repris de son père, une très petite structure, qui a évolué vers une entreprise de 6 employés à plein temps avec un chiffre d’affaires de +/- 4 millions de $CAN. Au début impliqué dans la production de lait, l’entreprise est aujourd’hui passée à l’élevage de viande de boucherie et est spécialisée dans la production de pommes de terre. Ils travaillent aussi comme contracteurs. La technologie passionne les gestionnaires de l’entreprise et depuis longtemps puisqu’ils ont fait l’acquisition des premiers robots de traite en 1999. Actuellement, ils utilisent au maximum l’informatique et la technologie, en passant par le GPS, la reconnaissance vidéo des mauvaises herbes, etc.